A l’épreuve du temps

Quels que soient les mérites de la technique utilisée qui leur a assuré une conservation exceptionnelle sans protection particulière, ces peintures ont souffert au fil du temps. Du fait des actions humaines : martelage précédant leur badigeonnage (pour une meilleure adhérence de celui-ci), remontées d’humidité ou graffiti de troupes cantonnées (cf. Saint-Hippolyte du Bouchier), vandalisme religieux (effacement des yeux des apôtres à Saint-Jacques de Prelles). Ou du fait de la pollution qui aboutit à un effacement progressif de celles situées à l’extérieur.
On s’en rend bien compte en comparant le relevé de cette Cavalcade fait en 1920 ou en consultant des archives anciennes publiées dans le Bulletin de la Société d’étude des Hautes-Alpes (https://www.seha.fr) et notamment la série d’études de Camille Blanchard sur « L’art populaire dans le Briançonnais, Les vertus et les vices » de 1920 à 1923 (téléchargeables sur https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34363948w/date&rk=21459;2 ) dont est tiré le dessin reproduit ci-dessus et publié p 142 dans le bulletin de 1920.

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