L’analyse des végétaux prélevés dans la tourbière de Faudon révèle, qu’à partir du XVIIe et durant le XVIIIe siècle, une reprise des défrichements et une mise en valeur agropastorale, avec la mise en place locale de terroirs d’estives. La fontaine aménagée et les gravures de berger en sont le témoignage.
La fontaine aménagée est constituée de gros blocs taillés, dont certains comportent des gravures.
Près de 30 rochers comportent des gravures (une petite centaine), qui sont essentiellement des patronymes, des monogrammes, des dates et quelques rares symboles.
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