Sous l'égide du comité de sauvegarde du château et de la Société d'études des Hautes-Alpes, la partie la plus ancienne du château a elle aussi connu quelques travaux dans le milieu des années 70.
Considérablement affaibli par l'incendie de 1692, le logis seigneurial menaçait à tout moment de s’effondrer sur lui-même et d'endommager les parties adjacentes.
En 1975, une campagne de consolidation est engagée. Les travaux permettent de sauver le bâtiment en le soutenant à l'aide de poutres métalliques et en le mettant hors d'eau grâce à une dalle en béton.
Cette dalle joue un double rôle : ceinture de renforcement des murs et toit-terrasse où sont entreposées les pierres de taille de cette espace, à l'abri du vol et dans l'attente d'une éventuelle restauration.
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