Au XIXe siècle, on construit un hôpital, une cuisine, un réfectoire, deux batteries (galeries accueillant des canons), etc. Le fort devient un lieu de casernement pour les soldats voués à défendre la frontière depuis les retranchements édifiés sur les hauteurs alentours. En 1915, l’Italie se ralliant à la France, cette partie des Alpes n’est pas concernée par les combats de la Première Guerre mondiale.
Les dernières modifications interviennent dans les années Trente.
Le dernier fait d’arme des chasseurs alpins du fort a lieu en juin 1940 : bien que peu nombreux, ils parviennent à stopper les milliers de soldats italiens qui viennent de franchir les cols. L’histoire militaire de Fort Queyras s’achève.
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