Aujourd’hui les traces de cet épisode ne sont visibles qu’en bord de rivière, quelques ravines subsistent aux abords du ruisseau Borel à proximité de l’Eglise ou à la demoiselle coiffée.
Mais à l’été 1957, l’environnement était tout autre comme en attestent les photos.
Dans la nuit du 13 au 14 juin, l’Aigue Blanche emporte les terres du moulin sur son passage, les arbres, et le dernier moulin ! Le paysage est radicalement transformé, l’accès à la montagne ou aux prairies de l’ubac impossible dans un premier temps. Cet été-là le transport du foin depuis l’ubac s’est fait à dos de cheval ou mulet avec trousses et banastes.
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