Eglise Saint-Sébastien de Plampinet
Névache
Visitée pour ses magnifiques peintures murales de XVIème siècle, l’Eglise Saint-Sébastien, classée monument historique depuis 1991, associe l’art religieux du XVIème siècle et les peintures du peintre local Hippolyte de Laurençon (1755-1828).
Bâtie en 1510 dans le style roman, elle est entourée d’un petit muret qui clôture l’ancien cimetière de Plampinet. La belle croix posée sur un socle de grès , appelée la Croix de « Mélézets » provient de l’école de bas-relief du petit village italien du même nom situé de l’autre côté du Col de l’Echelle .
Avant de découvrir les fresques à l’intérieur, prenez le temps d’observer :
le cadran solaire au-dessus du porche d’entrée, de style Louis XV est l’œuvre du peintre local Hippolyte Laurençon ; il porte une maxime incitant à éviter le péché « Rappeler-vous de votre heure dernière et vous ne pêcherez jamais ». (Ce cadran, contemporain des deux horloges mécaniques visible sur la tour, permettait d’ajuster ces dernières puisqu’il ne se déréglait pas avec le temps).
Le clocher, datant de 1602 (refait en 1749) de style roman-lombard est facilement reconnaissable grâce à son bulbe recouvert d’ardoises de Bergame. Il abrite deux cloches fondues par les frères Vallier de Plampinet , toutes deux datées de 1731 et 1749.
Les peintures murales du XVIème siècle : la troisième travée voutée de la nef recèle 20 panneaux à la chronologie remarquable retraçant la Passion du Christ.
Peintes par des artistes italiens vers 1550, ces peintures murales avaient surtout pour but d’enseigner (le caractère ornemental ne venant qu’en second). Restaurées à deux reprises, les couleurs utilisées sont à base d’ocres, de carbonate de plomb, de sel de cuivre, de lapis-lazuli et de noir de fumée d’origine végétale ou animale principalement .
Bâtie en 1510 dans le style roman, elle est entourée d’un petit muret qui clôture l’ancien cimetière de Plampinet. La belle croix posée sur un socle de grès , appelée la Croix de « Mélézets » provient de l’école de bas-relief du petit village italien du même nom situé de l’autre côté du Col de l’Echelle .
Avant de découvrir les fresques à l’intérieur, prenez le temps d’observer :
le cadran solaire au-dessus du porche d’entrée, de style Louis XV est l’œuvre du peintre local Hippolyte Laurençon ; il porte une maxime incitant à éviter le péché « Rappeler-vous de votre heure dernière et vous ne pêcherez jamais ». (Ce cadran, contemporain des deux horloges mécaniques visible sur la tour, permettait d’ajuster ces dernières puisqu’il ne se déréglait pas avec le temps).
Le clocher, datant de 1602 (refait en 1749) de style roman-lombard est facilement reconnaissable grâce à son bulbe recouvert d’ardoises de Bergame. Il abrite deux cloches fondues par les frères Vallier de Plampinet , toutes deux datées de 1731 et 1749.
Les peintures murales du XVIème siècle : la troisième travée voutée de la nef recèle 20 panneaux à la chronologie remarquable retraçant la Passion du Christ.
Peintes par des artistes italiens vers 1550, ces peintures murales avaient surtout pour but d’enseigner (le caractère ornemental ne venant qu’en second). Restaurées à deux reprises, les couleurs utilisées sont à base d’ocres, de carbonate de plomb, de sel de cuivre, de lapis-lazuli et de noir de fumée d’origine végétale ou animale principalement .
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